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Portrait(s) 2018


Découvrez Portrait(s), le rendez-vous photographique de la Ville de Vichy du 15 juin au 9 septembre 2018.

  Dossier de presse


Les galeries du Centre culturel Valery-Larbaud sont situées au 20 rue du Maréchal Foch, et sont ouvertes du mardi au dimanche de 14h à 18h (fermé 14 juillet et 15 août).

La Médiathèque Valery-Larbaud est située au 106/110 rue du Maréchal Lyautey.


Portrait(s) 2018

 

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Cela fait maintenant six ans que le Rendez-vous photographique Portrait(s) donne à voir des morceaux de vie. À travers le regard éclairé des photographes, passent des visages mêlant ce que la vie a de plus évident, et ce que l’artiste a de plus puissant.

Des instantanés sur quelques cimaises captent une dimension esthétique pour la mettre à la portée de tous, du promeneur inattentif au professionnel avisé, en passant par tous les degrés de curiosité néophyte. Vichyssois et non-Vichyssois partent à la découverte de nouveaux mondes à travers des prismes originaux. Entres autres expositions, on notera l’extrême périphérie nord, francilienne, en noir et blanc, dans les méandres des années 80 ; de son côté, Mark Seliger s’installe en bords d’Allier pour nous plonger dans l’univers des célébrités américaines ; Gilles Coulon, artiste en résidence, réinterroge les frontières géographiques et humaines en soulignant les liens très particuliers des Vichyssois accueillant les étudiants du Cavilam.

Ainsi, le monde entier s’expose à Vichy ! C’est un parti pris assumé : disséminer les photos dans la ville en les intégrant à des emplacements souvent très fréquentés. Portrait(s) fait le pari de la culture dans toute sa diversité, mise au service de la proximité et de nos vies quotidiennes, et s’inscrit naturellement dans la programmation d’un été vichyssois riche en manifestations culturelles.

J’adresse tous mes remerciements aux organisateurs de ce Rendez-vous photographique, qui, à chaque édition, savent mettre en valeur les photographies et les photographes pour faire résonner l’art dans la ville.

Je vous souhaite à toutes et à tous de belles découvertes !

Frédéric Aguilera
Maire de Vichy
Président de Vichy Communauté
1er Vice-Président du Conseil départemental de l’Allier

Quel bonheur de pousser cette année encore les portes de Vichy pour y célébrer le portrait photographique. Un honneur d’accrocher de nouveaux visages dans les galeries du centre culturel Valery-Larbaud et sur les places de la cité, devenues en six éditions les salles d’exposition privilégiées d’un art ainsi décloisonné et ouvert à tous.

Du 15 juin au 9 septembre 2018, le rendez-vous photographique Portrait(s) poursuit le voyage entamé voilà six ans. Un voyage au coeur d’un territoire artistique hétéroclite, passionnant, où se conjuguent les écritures photographiques. Chacune à leur manière – documentaire, humaniste, académique, poétique –, elles évoquent la liberté des nomades, la résilience, la beauté de corps singuliers. Elles donnent à voir la matière complexe de la figure humaine, l’humaine condition qui, à travers le monde, les cultures, les âges ou les genres, nous relie les uns aux autres.

Ainsi Portrait(s) tisse-t-il de nouveaux liens en réduisant les frontières géographiques ou temporelles. Pour que cohabite l’évocation sensible des relations entre frères et soeurs de la Finlandaise Nelli Palomäki et la puissance magistrale de l’esthétique américaine des portraits de Mark Seliger, dont Portrait(s) fête les trente ans de carrière. Pour que la jeunesse d’une banlieue française, passée au prisme délicat du noir et blanc de Denis Dailleux, rejaillisse des mêmes années 80 qui ont vu d’anonymes Chinois découvrir la pratique photographique grand public et immortaliser une époque dont le collectionneur Thomas Sauvin a conservé la trace et restitué l’esprit.Pour que la beauté brute gravée sur la lande sauvage des portraits de Mattia Zoppellaro épouse la grâce hiératique des compositions baroques de Justine Tjallinks.

C’est l’envie de provoquer ces rencontres inattendues qui anime Portrait(s). Des rencontres avec le public également, sous la forme d’ateliers pédagogiques entre photographes et élèves, de collaborations entre la population et les artistes. Notamment à travers la résidence proposée cette année à Gilles Coulon, qui est allé à la rencontre d’étudiants étrangers en séjour linguistique et de leurs hôtes vichyssois, des rencontres sensibles mettant en lumière un désir de compréhension mutuel, et les portraits de famille du studio de Karma Milopp, qui nous rappelle le retour aux traditions des portraits de famille.

Avec ce nouveau programme, le rendez-vous photographique Portrait(s) réaffirme sa volonté de soutenir la création et de promouvoir la transmission.

Je souhaite remercier la Ville de Vichy, Monsieur le Maire Frédéric Aguilera, Mme Charlotte Benoît, Première adjointe, M. Martin Kubich à la direction de la Culture, M. Mathias Lucien Rapeaud à la direction de la Communication, pour leur engagement et leur soutien indéfectibles.

Et tout particulièrement, Karim Boulhaya, Pascal Michaut.
Les équipes du centre culturel Valery-Larbaud, Véronique Roth, Jérôme Schirtzinger, Marie-Hélène Najean, Christophe Darbelet.


Portrait(s) présente dix expositions, se tenant simultanément en centre-ville et à l’extérieur, à ciel ouvert : dans l’espace des galeries du Centre Culturel Valery-Larbaud, construit au début du siècle dernier, et dans le hall, à la Médiathèque Valery-Larbaud, sur l’esplanade du lac d’Allier et place Saint-Louis.

Sur l’Esplanade du Lac d’Allier
On ne présente plus le portraitiste américain Mark Seliger qui a réalisé, à lui seul, plus de 125 couvertures du magazine américain Rolling Stone dans les années 90, avant de collaborer à GQ, Vanity Fair, New York Magazine, Vogue, Time Magazine… Matthew Barney, mi-homme, mi-créature, c’est lui. La silhouette de Barack Obama de dos ou Kim Kardashian en madone nue et voluptueuse, c’est lui aussi. Ses portraits, fondés sur la vérité des expressions, ponctuent les rives de l'Allier.

Dans les Galeries d’expositions - Centre Culturel Valery Larbaud
A 37 ans, Nelli Palomäki est l’une des figures reconnues de la photographie finlandaise. Les enfants et les adolescents constituent ses modèles préférés. Dans sa dernière série de portraits en noir et blanc, intitulée Shared, elle s’est intéressée plus particulièrement aux liens qui unissent les jeunes frères et soeurs.

L’Italien Mattia Zoppellaro a achevé depuis peu une oeuvre documentaire de cinq ans sur les gitans d’Irlande, d’Écosse, du pays de Galles et d’Angleterre. Il les a suivis dans la petite ville d’Appleby, au Nord de la Grande-Bretagne, où chaque année ils se rassemblent en juin. Ses images couleur exacerbent à la fois la singularité, la fierté et le dénuement de cette communauté méconnue en Europe.

Thomas Sauvin est un collectionneur et éditeur français qui mène en Chine un grand projet d’archive photographique baptisé Beijing Silvermine. Depuis 2009, il a mis à jour la mémoire de la Chine ordinaire en sauvant de la destruction plus de 500 000 négatifs, qu’il a classés par thèmes, époques et styles. Il présentera à Vichy une sélection de près de 300 images ainsi que les publications auxquelles elles ont donné lieu.

La jeune Hollandaise Justine Tjallinks s’inscrit dans la tradition du portrait flamand qu’elle revisite à l’aune d’une esthétique toute contemporaine. En prenant pour modèles des enfants atteints du syndrome de Down ou une femme albinos et aveugle, elle revisite les canons de la beauté, associant le bizarre et l’aristocratique, le féerique et l’altier.

Denis Dailleux exprime toute sa délicatesse dans la série de portraits d’enfants qu’il a réalisés à Persan-Beaumont (Val-d’Oise) à la fin des années 80. Ces images en noir et blanc, nées d'une chimie secrète, étaient restées dans ses archives. Elles font l’objet d’un nouvel ouvrage publié en avril et témoignent de sa capacité à détourner les clichés de la banlieue pour y réintroduire de la grâce et de l’innocence.

Gilles Coulon, du collectif Tendance Floue, signe la 5e résidence photographique à Vichy. Il a entrepris un travail en collaboration avec le CAVILAM - Alliance Française. Cette association trouve chaque année des familles d’accueil vichyssoises pour plus de 4 000 stagiaires étrangers désireux d’apprendre le français. À Vichy, Gilles Coulon s’est intéressé au dedans, il a multiplié les face-à-face. Ses portraits intimistes d’hôtes et d’étudiants mettent en lumière la force et la fragilité de ce qui nous lie.

En plein air, Place Saint-Louis et à la gare
Karma Milopp studio est un duo d’artistes formé en 2011 par la plasticienne Carla Talopp et le photographe Thomas Millet. Depuis 2017, ils revisitent l’art du portrait de famille. Soigneusement éclairés par Thomas, les modèles posent devant les toiles de Carla Talopp aux motifs inattendus de jungle ou de fonds sous-marins. À Vichy, Karma Milopp a transporté en avril dernier son studio ambulant et réalisé 30 portraits nés de moments de poésie et de convivialité.


GALERIES DU CENTRE CULTUREL VALERY-LARBAUD
JUSTINE TJALLINKS
THE BEAUTY IS ALWAYS STRANGE

© De la série Jeweled (Vision) 2016

© De la série Jeweled (Shun) 2016

En prenant pour modèles des enfants atteints du syndrome de Down ou une femme albinos et aveugle, la jeune Hollandaise Justine Tjallinks revisite les canons de la beauté, associant le bizarre et l’aristocratique, le féerique et l’altier. Elle puise son inspiration dans les chefs-d’oeuvre des maîtres de la peinture hollandaise. Attentive à la rigidité des poses et des costumes, elle détourne les codes de l’âge d’or de la peinture flamande pour réaliser des oeuvres hybrides, à mi-chemin du portrait de cour et de l’image intériorisée.


GALERIES DU CENTRE CULTUREL VALERY-LARBAUD
NELLI PALOMÄKI
SHARED

Kasper and Olivia, série Shared, 2016. Courtesy galeries Les filles du calvaire, Paris et Taik Persons, Berlin

Née en 1981, Nelli Palomäki vit et travaille entre Isnäs et Helsinki. À 37 ans, elle est l’une des figures reconnues de la photographie finlandaise. Dans sa dernière série intitulée Shared, elle s’est intéressée plus particulièrement aux liens qui unissent les jeunes frères et soeurs. Entre ressemblance et dissemblance, amour et distanciation, gravité et légèreté, ses portraits en noir et blanc explorent toute la gamme des sentiments et des antagonismes. Elle poursuit avec cette série un travail de longue haleine sur les enfants et les adolescents, scrutant avec pudeur et justesse le passage délicat de l’enfance à l’âge adulte. Nelli Palomäki est représentée par la galerie Les filles du calvaire, Paris et Taik Persons, Berlin.


GALERIES DU CENTRE CULTUREL VALERY-LARBAUD
MATTIA ZOPPELLARO
APPLEBY

Sans titre, de la série Appleby, 2013

Fred and Peter Lee, de la série Appleby, 2014

Mattia Zoppellaro est né à Rovigo, dans la plaine du Pô, en 1977. Il vit maintenant entre Londres et Milan. Cinq ans durant, il a emboîté le pas des gitans d’Irlande, d’Écosse, du pays de Galles et d’Angleterre. Chaque année, le premier week-end de juin, cette communauté se rassemble dans la petite ville d’Appleby, au Nord de la Grande-Bretagne, pour vendre des chevaux, faire la fête et célébrer sa culture. À mi-chemin du documentaire social et de l’essai personnel, le travail de Mattia Zoppellaro s’attarde sur les corps et les visages qu’il inscrit dans l’espace de vastes paysages, traduisant par ses images hautes en couleur la liberté d’esprit et de mouvement de cette population nomade.

Mattia Zoppellaro est représenté par Constrato.


GALERIES DU CENTRE CULTUREL VALERY-LARBAUD
THOMAS SAUVIN
BEIJING SILVERMINE

THOMAS SAUVIN

THOMAS SAUVIN

THOMAS SAUVIN

THOMAS SAUVIN

De la série Quanshen. Beijing Silvermine

Beijing Silvermine est un projet mené par Thomas Sauvin, un collectionneur et éditeur français qui vit entre Paris et Pékin. Depuis 2009, il a ravivé la mémoire de la Chine ordinaire en sauvant de la destruction plus de 500 000 négatifs, qu’il a classés par thèmes, époques et styles. Des premiers films Kodak grand public apparus en 1935 en Europe mais bien plus tard en Chine, jusqu’à l’essor du numérique dans les années 2000 qui signe la fin de la pellicule, les photographies qu’il a recueillies dressent le portrait vivace d’une Chine de l’après révolution culturelle, qui goûte pour la première fois aux loisirs et à la société de consommation. Thomas Sauvin présentera à Vichy une sélection de près de 300 images ainsi que les publications auxquelles elles ont donné lieu.

La scénographie de l’exposition est réalisée par Sylvie Meunier.


EXPOSITION EXTÉRIEURE
ESPLANADE DU LAC D’ALLIER
MARK SELIGER
30 ANS DE PHOTOGRAPHIE
À CIEL OUVERT

Tom Hanks, Los Angeles, Californie, 1994.
Courtesy A galerie, Paris

Kurt Cobain, Kalamazoo, Michigan, 1993.
Courtesy A galerie, Paris

Mark Seliger a établi sa réputation dans les années 90 en collaborant au magazine Rolling Stone dont il a réalisé à lui seul plus de 125 couvertures. Il a ensuite rejoint le groupe Conde Nast en 2002, et signé pour GQ, Vanity Fair ou Vogue des portraits intenses, fondés sur la vérité des expressions, qui figurent parmi les plus fameux des quinze dernières années. Matthew Barney, mi-homme, mi-créature, c’est lui. La silhouette de Barack Obama de dos ou Kim Kardashian en madone nue et voluptueuse, c’est lui aussi. À l’occasion d’une publication aux éditions Abrams, qui célèbre ses trente ans de carrière, il expose le long de l’Allier ses meilleurs portraits mais aussi des images moins connues et tout aussi sensibles.

Mark Seliger est représenté par la A. galerie, Paris.


GALERIES DU CENTRE CULTUREL VALERY-LARBAUD
DENIS DAILLEUX
PERSAN-BEAUMONT

De la série Persan-Beaumont. Courtesy VU’

De la série Persan-Beaumont. Courtesy VU’

Le nom de Denis Dailleux est associé à l’art délicat du portrait. Les photos d’enfants qu’il a réalisées à Persan-Beaumont (Val-d’Oise), dans les années 90, relèvent moins d’une photo documentaire que d’un geste vers l’autre. Cadrer des enfants qui grandissent dans des cités aux perspectives
bouchées est un défi. Denis Dailleux l’a relevé en resserrant le décor pour ne plus s’attarder que sur les corps menus, repoussant dans l’ombre la matière dure des murs. Ces images en noir et blanc, nées d’une chimie secrète, témoignent de sa capacité à détourner les clichés de la banlieue
pour y réintroduire de la grâce et de l’innocence.

Denis Dailleux est représenté par VU’, Paris.


GALERIES DU CENTRE CULTUREL VALERY-LARBAUD
GILLES COULON
ARTISTE EN RÉSIDENCE
ENTREVUES

De la série Entrevues, 2018. Courtesy Tendance Floue

De la série Entrevues, 2018. Courtesy Tendance Floue

Gilles Coulon, du collectif Tendance Floue, signe la 5e résidence photographique à Vichy. Il a entrepris un travail avec le CAVILAM-Alliance Française. Cette association visant à l’enseignement du français aux étrangers trouve chaque année des familles d’accueil vichyssoises pour plus de 4000 stagiaires étrangers désireux d’apprendre le français. A Vichy, Gilles Coulon est entré dans les maisons, il s’est intéressé au dedans et a multiplié les face-à-face. A travers ses portraits se fait jour une certaine idée de l’exil et de la fraternité. Il met en lumière la force et la fragilité de ce qui nous lie et nous rappelle ce sourd désir de vivre ensemble et de se comprendre par delà les frontières de langues et de cultures.

Gilles Coulon est membre du collectif Tendance Floue.

Le livre de la résidence est publié aux éditions Filigranes.


EXPOSITION EXTÉRIEURE / PARVIS DE L’EGLISE SAINT-LOUIS & PARVIS DE LA GARE
KARMA MILOPP
PORTRAITS DE FAMILLE
LES VICHYSSOIS S’EXPOSENT

Karma Milopp studio est un duo d’artistes formé en 2011 par Carla Talopp et Thomas Millet. Elle est plasticienne, illustratrice, designer textile et graphique. Il a commencé par des études d’architecture avant de devenir photographe. Depuis 2017, ils revisitent l’art du portrait de famille en déjouant les codes traditionnels de ce type d’images. Soigneusement éclairés par Thomas, les modèles viennent prendre la pose devant les toiles de Carla aux motifs inattendus de jungle ou de fonds sous-marins. A Vichy, Karma Milopp transportera en avril prochain son studio ambulant et réalisera une trentaine de portraits de famille rayonnants de poésie, d’humour et de gaieté.

Les 28 et 29 avril, de 10h à 12h et de 14h à 18h, les familles avaient rendez-vous au centre culturel Valery-Larbaud pour se faire tirer le Portrait(s) !

Un tirage de votre Portrait de famille vous sera offert par la Ville de Vichy, disponible dès le 16 juin dans les galeries du Centre Culturel Valery-Larbaud (20 rue du Maréchal Foch).

Une sélection de ces photographies sera présentée dans le cadre du Rendez-vous photographique de la ville de Vichy, Portrait(s) du 15 juin au 9 septembre 2018, Place Saint-Louis et sur le parvis de la gare SNCF.

 


EXPOSITION HALL DU CENTRE CULTUREL VALERY-LARBAUD
VICHY PORTRAIT(S)
S’INVITE À L’ÉCOLE
PROJET PÉDAGOGIQUE

Le rendez-vous photographique Portrait(s) poursuit cette année ses actions en direction du public scolaire. L’initiative lancée en 2017 dans une classe de CP de l'école Georges Méchin se poursuit et donne lieu à un nouvel atelier consacré à l'art du cadrage en photographie. Animée par Jérôme Schirtzinger (service Expositions) et Jérôme Darbelet (photographe), la classe va travailler avec des plans de villas vichyssoises historiques en toile de fond. Les enfants et modèles seront photographiés et intégrés à ces fonds par montage. Le projet, mêlant découverte et analyse des bases du cadrage photographique au moyen de planches créatives et d'ateliers dessin, ainsi qu’exercices pratiques de prises de vues, se déroule de mars à avril. Une sélection des meilleures photographies réalisées dans le cadre de ces ateliers sera exposée dans le hall du centre culturel Valery-Larbaud pendant la 6e édition de Portrait(s).

Cet atelier est rendu possible par les actions conjointes de Sylvie Mosnier, conseillère pédagogique et Ghislaine Chazeau, institutrice et directrice de l'école élémentaire Georges Méchin, ainsi que la Ville de Vichy.

Cette initiative est rejointe par celle de la classe de BTS 1re année de Charlotte Jeannin de l’ES de Vichy. En lien avec leur formation professionnelle, les 33 élèves de cette classe, répartis en 3 groupes, réfléchissent et produisent des photographies pour livrer leurs visions du portrait. Également encadrés par Jérôme Schirtzinger et Christophe Darbelet, les étudiants auront pu rencontrer Gilles Coulon, photographe en résidence, qui sera intervenu pour présenter son travail au sein des trois groupes d’étudiants.

Une exposition des meilleurs clichés sera également présentée dans le hall du centre culturel Valery-Larbaud.


MÉDIATHÈQUE VALERY-LARBAUD
CONCOURS PHOTO
VICHY PORTRAIT(S)
8E ÉDITION

Wipplay apporte son soutien à la 8e édition du concours Vichy Portrait(s). Il propose aux photographes professionnels et amateurs de présenter une série de photographies cohérente sur le thème du portrait.

Un jury prestigieux composé de Patrick Le Bescont des éditions Filigranes, Charlotte Boudon de la galerie Les filles du calvaire, Nathalie Marchetti de l’Express, Julie Plus de Wipplay, Fany Dupêchez, directrice artistique de Portrait(s) et Karim Boulhaya, directeur du CCVL, se réunira le 4 mai pour désigner les lauréats dans chaque catégorie.

Le jury décernera 3 prix :

  • 1er prix du jury : Exposition de la série lauréate lors de Portraits(s) 2018 + 1 livre de la résidence 2018 signé ;
  • 2e prix du jury : Les livres des précédentes résidences signés ;
  • 3e prix du jury : Les livres des précédentes résidences.

Le lauréat du prix du jury verra ses images exposées à la médiathèque Valery-Larbaud pendant la durée du rendez-vous photographique Portrait(s), du 16 juin au 8 septembre 2018.

Participer au concours Portrait(s)


LES TEMPS FORTS

VENDREDI 15 JUIN :

SAMEDI 16 JUIN :
Médiathèque Valery-Larbaud

  • 11H : Rencontre publique menée par Natacha Wolinski autour d’une exposition de la programmation et de son auteur.
    Signatures des livres des photographes invités, ouverture de l’exposition du lauréat du 1er Prix du Jury et remise des prix du 8e Concours photo Vichy Portrait(s)